Tout n’est pas de tout repos a Managua. Il fait chaud et le trafic ressemble a celui qui regne dans la plupart des capitales.

. Managua : capitale. Un vrai grand bazar aménagé. Les affiches « bonimentes » ou de campagne et les grands panneaux de publicité à l’américaine côtoient des panneaux fragiles vous invitant à la vulcanizacion (pression des pneus) ou à laver votre voiture.

Des bœufs et une charrette à coté du dernier modèle de chez Ford ou de chez Toyota au feu rouge. La circulation est plus fluide une fois sortie de la marmite nicaraguayenne et les asados ou autres barbecues locaux vous invitent à vous arrêter pour grignoter une petite fritanga.

Managua et sa sierra s’étendent sur 20km, au bordure du lac (Lago Xolotlán). Vallonée et sûrement polluée comme beaucoup de mégapole. Elle a été reconstruite à la va-vite après un tremblement de terre sérieux et mortel il y a plus de quarante ans. Un autre avait eu lieu un peu plus tôt dans le siècle.

Finalement il n’y a pas de centre à proprement parlé. Une vieille cathédrale survivante qui côtoie un nouveau parc en bord de lac. On ne se balade pas à pied par ici. Sauf si on souhaite se perdre et se faire surprendre dans le plus grand marché d’Amérique Centrale, l’Oriental.

Par pur hasard, on tombe sur un espace vert et récréatif non loin de l’avenue principale parsemée d’arboles de la vida, des arbres lumineux métalliques gigantesques.

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